Dans ce deuxième volet, Alfonso nous décrit comment les machines ont révolutionné la préparation des tortillas au Mexique.

Manuel nous parle de son université, de son pays et du contraste entre les quartiers pauvre et riche du Mexique. Il nous donne aussi son opinion sur son désir de rapprocher le Mexique des États-Unis.

L'amour semble être partout: avec Victoria, avec Juan Pablo et avec Ivo !

Manuel, un étudiant mexicain en économie, nous parle de son université mais aussi de ses passe-temps favoris.

Disputes, drames policiers et drames familiaux sont à l'affiche de ce cinquième épisode.

Mouvement et couleurs caractérisent cette peinture à l'huile d'une belle gitane imaginée par Ramón Hernandez-Barajas... Ce talentueux peintre nous dévoile ici son inspiration et ses secrets d'artiste.

Andrea confronte Ivo.

Habituellement, on associe l'Économie avec chiffres et données, mais à l'Université autonome métropolitaine, on voit les gens derrière les chiffres. Crista est une étudiante prête à parler de son université et de sa ville au Mexique.

Deux femmes en colère... et un combat dans la boue !

Voici la dernière séquence sur cet aimable peintre de Tijuana, Ramon Hernandez Barajas.

Mili a une nouvelle affaire de commerce en tête !

Miam, miam... Une délicieuse recette de figues de Barbarie, tout droit d'un étal ambulant au Mexique!

La romance est dans l'air !

Ana est très contente d'étudier à son université et la recommande à tous ceux qui viennent au Mexique pour s'instruire dans beaucoup de domaines.

Andrea a des soupçons sur les allées et venues de son fiancé. Milagros raconte en pleurs à Madame ce qui lui est arrivé d'horrible.