Le groupe cubain Orishas est passé de dormir dans le métro jusquà devenir artistes et ambassadeurs bien nourris de Hip Hop latine. Écoutons même quelques Espagnols leur demander une explication sur l'argot cubain et les références culturelles trouvées dans leur chanson "El Kilo".

Une nouvelle éducation plus classique est en vue pour Milagros...

Il y a un malentendu de la part de Morgan, et plutôt de l'orage dans l'air !

Dans la deuxième partie de notre EPK, Bersuit nous donne des informations sur les chansons restantes de "Hijos del culo", révélant plus de vues politiques et sociales.

Orishas était un groupe de rap bien connu en Amérique latine ainsi que dans de nombreux pays hispaniques. Ils chantent ici leur nostalgie pour leur pays d'origine, Cuba.

L'acrobate Francesca nous parle de sa vie journalière et de ses numéros de cirque au Nicaragua.

Quelqu'un d'inattendu apparaît à la soirée de fiançailles d'Andrea !

Mili rencontre beaucoup de problèmes à cette fête... Non seulement à cause de ses douloureux talons à aiguille mais aussi à cause des potins des gens de la "haute société" !

Le papotage continue à droite et à gauche...

"Motel", un groupe mexicain de rock pop, interprète ici "Un, deux, trois".

Federico présente ses excuses à Luisa pour sa dernière explosion mais réalise bientôt que les choses sont pires que ce qu'il pensait. Pendant ce temps, Ivo et Milagros s'assoient enfin et parlent, mais leur conversation est loin d'être cordiale...

Federico demande l'aide de son beau-frère pour convaincre sa femme Victoria de ne pas l'abandonner.

Yvo a un tête à tête avec son cousin tandis qu'Andrea fait des reproches à Monsieur DiCarlo...

Voici Calle 13 dans une chanson à carré... tout blanc !

Ivo se sent obligé de demander à sa grand-mère le renvoi de Milagros.