Ana Carolina, toujours le sourire aux lèvres, nous enseigne ici plusieurs façons de formuler des questions en espagnol.

Fermín nous raconte sa dernière visite familiale aux Pays-Bas, un pays qu'il aime visiter dès qu'il le peut. Voyons ce qu'il aime faire lors de son séjour en famille et avec ses amis !

Nous continuons à en apprendre davantage sur le Portail linguistique de l'Académie royale espagnole, grâce à Carlos. Aujourd'hui, il met l'accent sur "l'Observatoire des mots" et la divertissante section des "Jeux et défis" espagnols.

Comment se connecter à Yabla ? Rien de plus facile avec cette démonstration de Cleer d'une minute environ !

Bonnes et mauvaises nouvelles s'enchainent dans cet épisode mouvementé !

Voyons ce qui se passe de curieux le vingt-trois avril, chaque année, à Barcelone. Víctor vous en dit plus...

Le guitariste professionnel Manuel Guarneros nous raconte son expérience personnelle quand il faisait des tournées avec la légendaire chanteuse mexicaine Chavela Vargas.

Ana Carolina explique les bases du mode subjonctif en espagnol ainsi que certaines expressions en espagnol qui l'entrainent.

Dans la partie finale de cette série, Juan Carlos de Pavas, en Colombie, nous parle d'un autre projet qu'il envisage de faire avec son épouse, à côté de sa "Casa artesanal".

Et en avant la musique ! Sylvia nous montre davantage d'instruments dans ce second volet et même nous apprend à en fabriquer quelques-uns à la maison !

Jorge et Marcela passent à la télévision dans le but de glaner la sympathie du public, ce qui exaspère les familles des victimes à l'hôpital.

Soledad nous parle ici d'un autre ancien habitant d'Orihuela, bien connu après son décès pour sa poésie: Miguel Hernández. Sa courte vie, ses ouvrages, dont certains ont été mis en chanson, sont poignants...

Dayana Rodríguez, cette fois-ci, nous parle de la méditation et de ses bienfaits.

Quels instruments de musique connaissez-vous? Silvia nous en présente quelques-uns et nous explique à quelle famille ils appartiennent.

Depuis la Plaza de Ponchos à Otavalo, en Équateur, María Luzmila nous raconte comment la pandémie et la quarantaine ont affecté son dur labeur.