Mili rencontre beaucoup de problèmes à cette fête... Non seulement à cause de ses douloureux talons à aiguille mais aussi à cause des potins des gens de la "haute société" !

Le groupe mexicain "La Gusana Ciega" sait toujours donner un ton surréaliste à ses chansons et vidéos, comme ici où il nous présente couleurs disparates, vieilles voitures rouillées et une jolie fille pourchassée... par les propres membres de ce groupe musical !

Panda est un groupe de rock alternatif mexicain, originaire de Monterrey. Voici une chanson mélodieuse, mais à ne pas laisser entendre par toutes les oreilles...

Quelqu'un d'inattendu apparaît à la soirée de fiançailles d'Andrea !

Les ballades de Los Originales de San Juan, un quatuor du nord de longue date basé en Californie, sont marquées de controverse en raison de sujets consacrés aux trafiquants de drogue. Leur succès cependant n'en est pas affecté puisqu'ils ont signé un lucratif contrat avec EMI Latin après la sortie d'un de leurs fameux singles sur de grandes stations de radio comme Norteño et Tejano.

Des doutes et beaucoup de questions sur l'amour... dans cette chanson du groupe mexicain de rock "Café Tacuba" !

Plusieurs retrouvailles et rencontres dans cette maison très animée...

Gloria Trevi, chanteuse mexicaine de pop-rock très connue dans le monde latino-américain des années 80 et 90, donne un puissant ultimatum avec Cinq minutes !

Jésus Colina nous présente avec enthousiasme son auberge et la boutique de surf qu'il a sur la plage d'Adicora au Venezuela.

No puedo verte [Je ne peux pas te voir] est sans conteste un titre de chanson qui va très bien avec le nom de ce groupe "La Gusana Ciega" [Le vers aveugle]. Mais cette vidéo ne traite pas de malvision, mais de la tristesse de voir un amour qui se perd dans de nouveaux bras...

L'acrobate Francesca nous parle de sa vie journalière et de ses numéros de cirque au Nicaragua.

La chanteuse portoricaine Ednita Nazario mène une longue et brillante carrière musicale. Elle interprète ici son fameux succès à trois lettres: Non !

Francisco Javier nous parle avec passion de son travail au cirque, qui est comme son chez-soi.