Une jeune aveugle et son chien qui passent, attirent l'attention d'une paire de petits criminels sans ressources.

Une jeune femme aveugle, Laura, donne une interview à la radio sur la façon dont elle a acquis son chien-guide, Zazen, et le travail qu'ils font tous les deux.

Tandis que les deux voyous complotent pour vendre le chien-guide de Laura, la jeune femme se rappelle des tendres moments passés à entraîner Zazén...

Monsieur Ramiro Parra insiste pour voir le chien "à vendre" dès le lendemain de son entretien téléphonique...

Federico arrive pour consoler Laura en détresse alors que les voyous se demandent quoi faire avec leur nouveau protégé.

Les deux voyous se disputent sur la meilleure façon de traiter Zazén, le chien volé, tandis que Laura parle à la radio de son désir d'éduquer les aveugles sur les avantages d'avoir un chien- guide.

Alors que Federico tente de consoler Laura, les voyous essaient de vendre son chien-guide bien-aimé.

Le voleur semble aussi terrorisé que le client par les aboiements du chien. Quant à la jeune fille, l'émotion d'avoir perdu son chien l'empêche de manger...

Laura continue son interview à la radio. Quant au voleur de chien, il a beaucoup de mal à garder Zazén tranquille, face à un acheteur de plus en plus soucieux.

Laura donne plus de précisions à la radio sur Zazen, son chien enlevé, tandis que le voleur réassure Monsieur Ramiro que le chien est très bien dressé.

Ana, grâce à son émission de radio, invite tous ses auditeurs et de nombreux réseaux sociaux à s'organiser pour retrouver le chien de Laura !

Un message sur les ondes radiophoniques est lancé sur l'enlèvement de Zazén, le chien de Laura. Mais qui est à l'écoute ?

Tandis que Laura est abattue par la disparition de son chien-guide, la station de radio reçoit l'appel d'un écouteur qui pourrait bien résoudre cette mauvaise situation !

Monsieur Ramiro explique comment un accident de voiture qui a laissé sa femme aveugle l'a conduit à chercher un chien-guide pour l'aider à sortir de chez elle.

Alors que l'émission de radio tire à sa fin, il devient évident que la faible connaissance des réseaux sociaux par les voleurs a contribué à leur capture.